DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ES-TU A MONTEREY ? + Je suis en ville depuis quelques temps déjà. J’avais besoin de changer d’air après avoir vécue trop de moments difficiles. J’ai voyagé et lorsque je suis arrivée ici, il y a quelques mois, je suis tombé amoureuse du paysage et de la tranquillité.
QUE PENSES-TU DE MONTEREY + J’aime beaucoup cette ville. Ici, personne ne me connait vraiment. Je peux être qui je suis sans avoir peur d’être jugé par les autres. J’aime l’ambiance qui y règne et je pense bien y rester pour un bon moment. Je commence tranquillement à me sentir comme chez moi.
CROIS-TU AU DESTIN ? + Peut-être ou peut-être. Était-ce mon destin de tombé enceinte à l’âge de seize ans ? Était-ce mon destin d’être renier par ma famille ? Était-ce mon destin de faire une fausse couche, d’être abandonnée par mon copain d’être battu par mon plus récent copain. Je ne pense pas. Je sais que chaque chose arrive pour une raison, mais je ne pense pas que c’était mon destin de subir toutes ses terribles épreuves. Peut-être que cela m’a rendu plus forte et fait de moi qui je suis aujourd’hui, mais chaque personne a le choix de changer son destin. Nous forgeons notre propre destinée.
COMMENT DÉCRIRAIS-TU TES JOURNÉES ? + Elles sont parfois monotone, rien ne se passe comme prévue ou alors, tout est parfait. Parfois je tourne en rond, mais comme je ne planifie presque rien à l’avance, car je n’arrive pas à me visualisée un an plus tard, déjà qu’un mois c’est déjà beaucoup pour moi. Je prends ce que la vie m’offre. Je peux tomber sur les fesses parce qu’une personne était trop absorbée par son téléphone, ou encore je renverse mon café en tournant le coin d’une rue. Je peux aussi être reconnu dans la rue comme chanteuse, on peut me demander un autographe ou même m’envoyer balader parce que je chante comme une casserole.
15 CHOSES A SAVOIR SUR MOI + 01. Je suis tombée enceinte à l’âge de seize ans. Ce n’était pas du tout volontaire, mais je n’ai pas eu d’autre choix que de garder l’enfant. Mes parents étaient contre l’avortement. 02. J’ai fait une fausse couche suite à un accident de voiture. C’est mon copain qui conduisait, mais il était bourré. J’étais à trois mois de grossesse. Le choc fut très violent. 03. À l’époque, je sortais avec un gars de trois ans mon ainée. Il avait été choisi par mes parents, car oui, ils étaient pour les mariages arrangés et comme sa famille était bien nantie, je n’avais pas d’autres choix. On était amoureux, mais il voulait plus. On a couché ensemble, mais c’était seulement pour lui faire plaisir. Je ne voulais pas perdre son amour. 04. Lorsque j’ai perdu l’enfant, il ma quitter. Déjà, j’avais été renié par ma famille et maintenant lui. Il ne m’a jamais donné d’explication. Je me suis retrouvée seule dans une ville que je ne connaissais même pas. 05. J’ai été recueillis par les Dickens alors que j’errais dans la ville. Un travailleur social m’avait repéré et m’avait immédiatement placé dans une famille après avoir pris conscience de mon histoire et après avoir eu l’accord de mes parents. 06. Il y a quelques temps, je suis sortie avec un homme, il devait avoir vingt-deux ans, alors que je n’en avais que dix-huit ans. Au départ, c’était le parfait bonheur jusqu’au jour où il m’a fait une crise de jalousie. Il a commencé à me battre et se fut la fin de notre relation. 07. Je chante depuis que je suis jeune. J’ai commencé dans la chorale de mon ancienne église, je suis devenue solo en moins de deux. Aujourd’hui je chante dans des petits cafés, dans la rue. Je compose mes propres chansons, je joue également de la guitare. Je suis une auteure-compositeur-interprète. Je ne pense pas en faire mon métier, mais ça serait un rêve. 08. J’adore faire la cuisine. Je n’ai pas vraiment eu le choix lorsque j’ai quitté la maison. J’ai appris par moi-même et je suis assez douée, mais pas au point d’être un grand chef. 09. Malgré toutes mes mésaventures, j’étais une bonne élève. J’ai fait l’école à la maison, le temps de me remettre à jour, mais une fois de retour, j’avais d’excellentes notes. J’ai poursuivis vers des études supérieures. 10. Je parle plusieurs langues, soit l’anglais, le français, le portugais et l’espagnol. Il m’est arrivé d’écrire une ou deux chansons dans ces langues et de les partager sur Youtube afin de voir ce que les gens en pensaient. 11. Je suis très actives sur Youtube, j’adore partager mes performances. Je demande toujours à une personne de me filmé pendant et je les ajoute à ma chaine. Je dois dire que je suis assez populaire. 12. Lorsque je suis nerveuse, je joue souvent avec une mèche de mes cheveux ou alors je me ronge les ongles. Il m'est déjà arrivé de me ronger les ongles jusqu'au sang. Au final, ma mère m'avait déjà attaché des mitaines de laines aux mains durant des semaines pour que j'arrête cette manie, mais je joue toujours avec une mèche de cheveux. 13. J'adore le dessin, l'écriture et la photographie, se sont mes passe-temps préférés. 14. Mon pêché mignon, c’est le chocolat sous toute ses forme, quoique je préfère le chocolat au lait et le Nutella qui est mon plus GRAND pêché mignon. Je peux même le manger à la cuillère lorsqu’une rage de chocolat me prend. 15. Je ne suis pas du genre SEX & DRUGS & ROCK'N ROLL, je fuis plutôt les fêtes du genre. Je suis une femme qui adore passé du temps tranquille avec ses amis ou même seule devant un bon film. 16. J’adore le sport, même si je laisse croire le contraire. Je ne manque jamais une journée pour fait un footing le matin. Je pratique également la boxe et le yoga.

PRÉNOM/PSEUDO + Valérie/aerie. AGE + vingt-deux ans encore pour quelques mois. FRÉQUENCE DE CONNEXION régulière, 5/7. OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM + par Kate   . SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ + inventé avec l'aide de Kate. SECRET + [] envoyé [X] en recherche ACCEPTES-TU QUE LA ROUE DU DESTIN INTERVIENNE DANS TES RPS + [X] oui [] non DERNIER PETIT MOT +  

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[b]Lucy Hale[/b] + Bonnie Dickens

« COMMENT OSES-TU BRISÉ LES RÈGLES DE CETTE FAMILLE. COMMENT AS-TU PEUX NOUS FAIRE, ME FAIRE ÇA. À MOI, TA PROPRE MAIRE. » Ma mère venait de découvrir que j’étais tombée enceinte de mon fiancé. Il l’avait choisi pour moi alors que je n’avais que quatorze ans, puisqu’il venait D’une bonne famille tout comme nous. Elle me réprimandait, parce que dans notre famille la religion est très présente, on pratique beaucoup, enfin mes parents surtout, il ne nous l’imposait pas, mais on devait tout de même respecter les règles. Pour eux, il ne devait pas avoir de relation avant le mariage et je l’avais brisé par amour. En pleurs, je répondis faiblement à ma mère. « Il m’a obliger. Il m’a dit que si je ne couchais pas avec lui, il mettait fin à notre relation. Je pensais que je faisais bien. » En un rien de temps, je vis une main venir s’écraser contre ma joue laissant une énorme marque rouge. « MAIS TU ES STUPIDE MA PAROLE ! NOUS NE T’AVONS JAMAIS ÉLEVÉ DE CETTE MANIÈRE ! TU NE FAIS PLUS PARTIE DE NOTRE FAMILLE. » Sans attendre, je monta rapidement dans ma chambre et referma ma porte. J’avais toujours une valise sous mon lit juste au cas où je devais partir et c’était le cas. Alors je remplissais ma valise de vêtements et tout ce qui pouvait m’être utile pour la suite, on cogna à ma porte. Je ne répondis pas parce que je ne voulais pas être dérangé. La porte s’ouvrit malgré tout, laissant assez d’espace pour que ma sœur entre. Elle était plus âgée que moi, et elle était déjà mariée depuis deux ans. On avait quatre ans de différent, ce qui faisait qu’elle avait actuellement vingt ans. « Eliza… je suis désolé… » J’ignore si elle l’était réellement. Elle avait toujours été la préféré de nos parents parce qu’elle était la parfaite petite fille, contrairement à moi qui faisait souvent que des bêtises. « Ne t’inquiète pas pour moi, je m’en vais. C’est mieux comme ça. » Je termina de remplir mes valise et je quitta la maison sans ajouter un mot de plus. Mon copain et sa famille pouvait m’accueillir, ils étaient même heureux. Pour eux j’étais parfaite, surtout parce que j’obéissais à tout ce qu’ils me disaient. Après trois mois de grossesse, car oui, je devais mener à terme, mon copain et moi revenions d’une petite fête. Je n’étais pas en état de conduire étant trop faible, mais lui il était ivre. On n’avait qu’une petite distance à faire, mais il a tout même réussi à trouver le moyen de faire un accident. Suite à ça, j’ai perdu l’enfant, ma famille, mon copain. J’étais seule dans une ville que je ne connaissais pas.

Après avoir tout perdu, j’ai erré dans les rues pendant quelques jours. Je n’avais que seize ans, comment avais-je pu vivre ça à mon âge. Ne pouvant plus marché, je me laissai tomber sur la pelouse du parc. J’avais faim, soif, j’avais dépensé tout mon argent durant les derniers jours, il ne me restait plus rien. Au moment où j’allais fermer les yeux, un homme s’approcha de moi. « Est-ce que tu vas bien ? » Je tentai de garder les yeux ouvert, mais rien à faire, je finis par fermer complètement les yeux.  Ce n’est que quelques jours plus tard, soit trois jours exactement, que je me réveillai à l’hôpital, perdue. Je ne savais pas ce qui venait de se passer. Je regardai autour de moi, les infirmières s’attardaient à leurs tâches quotidiennes, mais je remarquai qu’il y avait des policiers à l’extérieur de ma chambre qui parlait avec mon médecin, enfin c’est ce que j’avais déduit en les voyant me jeter des regards ici et là. Je me relevai tranquillement dans mon lit puisqu’ils se dirigeaient tous vers moi. « Bonjour jeune fille. Comment vous sentez-vous ? » Je les regarda sans vraiment comprendre ce qui se passait.  « Je vais bien, enfin je crois… Pourquoi il y a des policiers ? Et c’est qui cet homme ? Je crois l’avoir déjà vu » Alors que je regardais derrière les policiers, un homme s’avança vers mon lit et se présenta comme travailleur sociale. Ça voulait dire quoi au juste ?« Bonjour, je suis John, travailleur social. Je suis ici parce que je t’ai trouvé en train d’errer dans les rues. Tu t’en souviens ? » je mis quelques instant à me souvenir, mais je finis par hocher positivement la tête. Il me demanda ce que je faisais là et je lui déballai toute l’histoire. Je voyais qu’il était choqué parce que j’avais vécue et par l’inaction de mes parents. Il m’annonça alors qu’il allait me mettre dans une famille d’accueil le temps qu’il trouve une meilleure solution. Je secouai la tête. Je ne voulais pas aller en famille d’accueil. Je me débâtis dans mon lit au point que les policiers ont dû me retenir. J’avais entendu parler de plusieurs histoires où les enfants étaient maltraités, abusés, etc. mais l’homme m’assura que c’était une bonne famille.

Finalement Jack avait raison. Les Dickens étaient une merveilleuse famille. Ils avaient déjà des enfants à eux, mais il n’avait jamais refusé pour accueillir ceux qui en avaient besoin. Bien situer dans la société, ils n’ont jamais manqué de rien. Il participait à des œuvres de charité, offrait de l’argent à des organismes communautaires, etc.  Des personnes que sa rapprochait de ce que je recherchais. Je me suis très vite bien entendu avec eux. C’était ma famille plus que les Bells. « Eliza, tu pourrais venir nous voir dans la cuisine ?» En entendant la voix de madame Dickens, je me dirigeai vers la cuisine. « Oui !?! Vous vouliez me parler ? » Je regarda tour à tour monsieur et madame Dickens. Même les autres enfants étaient présents. Une réunion de famille et je n’étais même pas au courant ? « Nous aimerions te demander quelques choses. » Intriguée, je m’installai au comptoir pour leur faire face. « Nous aimerions savoir si tu voudrais faire officiellement partie de la famille. Devenir une vraie Dickens. ? » Au départ, je ne compris pas ce qu’il me demandait. « Attendez, vous voulez m’adopter ? Vraiment ?  » Tout les membres de la famille me regardaient avec un grand sourire. « Oui c’est bien ça. Tu pourrais officiellement le nom de Dickens. Nous avons tout arrangé avec Jack. » Cela signifiait donc que ma vrai famille m’avait complètement oublier. « Alors, je suis TOTALEMENT partante ! Par contre je pourrais changer de prénom ? Vous croyez que c’est possible ? » Suite à ça, je faisais officiellement partie de la famille Dickens sous le prénom de Bonnie. J’avais complètement oublié ma vie d’avant. Je ne voulais plus rien savoir des Bells. À quoi bon. Ils m’avaient complètement effacé de leur vie. Je n’étais qu’une erreur de la nature pour eux.

« Laisse-moi Aaron ! Tu me fais mal ! » Aaron venait de me faire une énorme crise de jalousie après que j’ai regardé un autre homme que lui. Il me faisait du charme et je pensais que ça allait le faire rire, surtout que j’étais complètement amoureuse de lui et qu’il le savait, mais non monsieur décide de faire une crise et de me serrer le bras au point de laisser une marque… Puis tout dégénéra sans que je m’y attende. Il me frappa dès que je tentais de me relever. Quand il s’arrêta enfin, j’étais dans les vapes. Je me réveillai seulement le lendemain matin et heureusement pour moi, il n’était plus là. Sans attendre une seconde de plus, j’allais dans noter chambre, fit mes valise en vitesse et quitta l’appartement. Cela faisait seulement un an que nous étions en couple, mais on avait eu comme un coup de foudre. Je m’étais complètement trompée sur lui. Une fois dans la rue, j’interpellai un taxi et donna un adresse se situant à Monterey. J’avais gardé contact avec mon cousin et je savais que peu importe ce qui arrivait je pouvais compter sur lui, seulement, je ne voulais pas me montrer devant lui avec tous ses bleus sur mon corps. Je demandai donc au chauffeur de me déposer dans un motel, le temps que tout disparaisse. Après deux semaines à vivre dans un motel, mon corps avait repris un peu de mieux, certains ecchymoses étaient encore présent, mais moins voyant. J’aurais juste à dire que j’étais tombé. Je refis rapidement mes valise et pris la directement de l’appartement de Jordan. Arrivée de la porte, je cognai trois timides petits coups. « Jordan, tu es là ? C’est ta petite soucine préféré ! »